Sur Charlie …

Sur Charlie …

Ne faiblissons pas, ne baissons pas la garde, ne désarmons pas.

 

La guerre est non seulement économique, mais aussi interculturelle, clandestine, composée d’agents dormants, formant une 5ème colonne de commandos formés pour frapper les corps et les esprits.

 

Le droit doit pouvoir répondre aux circonstances exceptionnelles au-delà des seules déclarations morales, du deuil national décrété, des drapeaux en berne et des rassemblements de témoignages.

 

L’Etat, dans ses attributions régaliennes doit pouvoir assurer la sécurité des biens et des personnes, première des libertés.

 

Dans ce climat de terreur, au nom de la raison d’état, principe institutionnel fondamental, il convient de se rappeler des outils dont dispose l’exécutif au soutien de sa mission :

 

  • Etat d’urgence
  • Etat de siège
  • Etat de guerre

 

En effet,

« là où le droit cherche à s’imposer sans la force, il est impuissant,

Là où la force s’impose sans le droit, elle est inique ».

Antoine SFEIR (journaliste, écrivain, directeur des Cahiers de l’Orient)– vœux 2015

Les commentaires sont clos.